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Ma famille possède un terrain dans la forêt près de notre ville. Ce n’est pas un endroit que nous utilisons souvent. Il a une petite maison et un lac. Il y a un panneau « Interdiction d’entrer » au bord du lac, mais le panneau a été installé il y a des années.
De temps en temps, les citadins utilisent le lac et on s’en moque. Il y a une bonne pêche et c’est un endroit frais pour se baigner les jours chauds. Entouré d’arbres, il donne même envie à certains de plonger nus. C’est là que commence mon histoire.
J’étais parti quelques jours à la maison de vacances à côté du lac, pour me vider la tête après les examens finaux. Je venais de terminer ma deuxième année à l’université. J’étais allongé au soleil et en train de lire un magazine à l’extérieur de la maison quand j’ai entendu le clapotis de l’eau.
J’ai marché jusqu’au lac et il y avait deux étudiantes qui riaient et nageaient. J’ai vu des vêtements éparpillés sur le sol, avec une serviette. D’après les éclairs de peau pendant qu’elles nageaient, il était à peu près sûr qu’il n’y avait pas de maillots de bain.
Un gentilhomme se serait retiré et les aurait laissés tranquilles. Je n’ai pas fait ça. Je me suis assis par terre non loin des vêtements et j’ai fait semblant de lire mon magazine. Elles m’ont vite remarqué et, ne sachant que faire, elles ont continué à nager.
Au bout d’un moment, elles ont nagé jusqu’au rivage. Accroupies dans l’eau, de sorte que seules leurs épaules dépassaient de la surface… une des filles m’appela.
« Salut. Ça te dérangerait de faire demi-tour ? Nous devons récupérer nos vêtements. »
J’ai souris. « Je suis sur ma propriété. Ça m’est égal, mais si tu veux tes vêtements, tu n’as qu’à venir les chercher. »
Elles m’ont regardé, se sont parlé et ont fini par accepter le fait qu’elles étaient coincés. Elles ne pouvaient pas rester éternellement dans l’eau.
Une fille, la blonde, est sortie la première de l’eau. Je suppose que l’autre est resté dans l’eau pour voir comment les choses se passaient. Elle croisa les bras sur sa poitrine, couvrant ses seins. Mais ses fesses étaient nues et je pouvais voir les poils blonds recouvrir son pubis.
Elle avait un beau corps, avec une carrure athlétique et des fesses fermes. Elle a attrapé ses vêtements. J’ai regardé, mais je n’ai pas bougé. La deuxième fille, une brune, la suivit. Plus grosse que la première, elle était agréablement ronde. Pour éviter de s’exposer plus que nécessaire, elles ne se sont pas essuyés avec une serviette, mais ont plutôt tiré à la hâte leurs vêtements sous mon regard.
« Espèce de pervers » me dit la blonde quand elles se tournèrent pour partir.
« Tu as raison. Je m’excuse. Mais vous êtes tellement belles toutes les deux, c’était une tentation à laquelle je n’ai pas pu résister. » Je ne voulais pas vous mettre mal à l’aise. Excusez-moi. »
Son regard sévère s’adoucit. Alors j’ai continué.
« Écoutez, laissez-moi me racheter. Ma maison est à côté. Laissez-moi vous préparer le déjeuner. J’ai du pain frais et de la charcuterie. »
Les filles se regardèrent. Elles ne parlèrent pas, mais il était clair qu’elles y réfléchissaient.
« Et de la bière fraiche, » ajoutai-je.
Elles ont finit par accepter timidement. Nous sommes donc allés à la maison. Je me suis présenté et j’ai demandé leurs prénoms.
« Marie », dit la blonde.
« Amélie », dit la brune.
Nous avons discuté un peu et les filles se sont détendues.
Je me souviens qu’elles n’avaient pas été séchées correctement. La conséquence de cela était que leurs vêtements collaient à l’humidité de leur corps. Leurs tétons dépassaient de leurs chemises ; leurs shorts moulaient bien leurs fesses.
J’ai préparé le déjeuner et elles m’ont dit que ça avait l’air bon. Elles portaient toutes les deux un tee-shirt et un short. Me concernant, je fais de l’exercice et je suis fier de ma musculature. De leurs regards, il semblait qu’elles admiraient mes pectoraux et mes épaules puissantes.
Nous avons continué à discuter et l’ambiance s’est considérablement détendue jusqu’au moment où la blonde, la plus intrépide, a dit : « vu que vous nous avez déjà vu toutes nues, c’est à votre tour de nous montrer votre corps, comme ça on serait à égalité ».
J’ai trouvé cela assez logique. J’ai donc enlevé ma chemise. Elles me regardaient sans rien dire. J’ai enlevé mon pantalon. J’ai hésité mais j’ai finalement enlevé mes sous-vêtements. J’étais complètement nu.
« Bon garçon. Nous aussi nous aimons regarder. »
Je n’étais pas super à l’aise mais Marie éclata de rire et enleva son haut. Amélie la suivit, et elles sont venus se coller à moi : l’une frottant ma poitrine, l’autre mon dos. Leurs mains ont voyagé jusqu’à ma taille et ont joué avec l’intérieur de mes cuisses.

Surtout que je savais que ma famille avait installé une caméra de sécurité qui filmait exactement l’endroit où nous étions.
Alors que j’étais sur le point de jouir, les filles ont soudainement arrêté de me sucer. Puis Marie est monté sur moi et a commencé à me chevaucher. Amélie s’est assise sur ma tête et j’ai ainsi pu gouter à sa cyprine. J’ai pris sa poitrine en main et j’ai commencé à la malaxer. Pendant ce temps, Marie se déchainait sur ma verge, elle commencer à prendre du plaisir visiblement. Et moi aussi.
Marie et Amélie ont finalement échangé leur place. La chatte d’Amélie était encore plus serrée que celle de Marie. Mais la chatte de Marie avait meilleure goût. C’était tellement excitant de savoir qu’elles m’utilisaient toutes les deux comme un objet sexuel.
Finalement je n’ai pas réussi à tenir très longtemps, j’ai prévenu les filles et elle se sont immédiatement mises à genoux et ont réclamé ma semence. Je me suis levé et je leur ai tout craché sur leurs beaux visages. Elles avaient l’air d’adorer et moi aussi d’ailleurs. Nous sommes ensuite aller nous baigner dans le lac pour qu’elles puissent se laver le visage.
Les filles sont revenues plusieurs fois. Elles ont même amené une amie de plus une fois. Mais ceci est une autre histoire.
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